Parier sur la parité

Mars, c’est le mois du printemps, des femmes, de la poésie. Tous les ans ces balivernes reviennent, on appelle ça des « marronniers » dans la presse. Eh bien puisque ce sont des marronniers, dont la saison est l’automne, je vais parler, par pur esprit de contradiction, de l’automne, des hommes, et le faire de façon triviale.

A l’automne d’une vie d’homme loin d’être monotone, pas encore besoin de sonotone pour répondre au téléphone. Non, je déconne ! Je commence à poétiser, au secours !

Soyons trivial. Etre un homme, c’est différent d’être une femme. Extérieurement, c’est évident. Intérieurement, peu ont eu l’occasion de vivre des deux côtés pour pouvoir comparer. Les femmes trouvent qu’on a depuis toujours abusé de leur « faiblesse » pour leur subtiliser la direction du monde, et même carrément les opprimer. C’est indéniable. On essaie à notre époque de corriger cette injustice, de rétablir l’équilibre mais ce n’est pas simple. Si vous croyez que c’est facile d’être un homme ! Comment savoir utiliser la testostérone de façon éthique, équitable, équilibrée ? Pas vegan parce que ça supprimerait les plaisirs de la chair. Tout l’enjeu d’une vie d’homme est là.

On parle de parité. Et si la dis-parité était le moteur du monde ? Un monde bien scabreux, non ? Pendant les 2 000 prochaines années, tentons la parité, on verra bien si c’est un meilleur choix.

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