Le Cri de l’Ormeau de mars est sorti. Vous voyez que, même à la retraite de ce magnifique magazine, je m’y intéresse encore. Et je dois dire que l’équipe actuelle s’en sort très bien sans moi. Je suis un peu vexé que mon indispensabilité n’ait pas été démontrée, mais tant pis, c’est la règle du jeu.
Pour ceux qui en auraient encore besoin, je vais vous révéler l’architecture, très simple, de ce magazine : le Cri de l’Ormeau est construit sur une structure moléculaire avec une embase territorio-alpha-communale chromo-référencée doublée d’un rubriquage capillotracté et graphico-tarifé, ensemencée de persiflage subliminal et ponctuée d’une grille pagino-estampillée.
Vous êtes l’indice pensable de l’information culturelle de référence pour l’ormeau et autres crieurs.