Souvenons de ce que disait Victor Hugo en 1848 devant l’Assemblée Nationale :
Les réductions sur le budget des lettres et arts sont mauvaises doublement : insignifiantes au point de vue financier, et nuisibles à tous les autres points de vue.
Quel est le grand péril de la situation actuelle ? L’ignorance, plus encore que la misère. C’est à la faveur de l’ignorance que certaines doctrines fatales passent de l’esprit impitoyable des théoriciens dans le cerveau confus des multitudes.
Et c’est devant un pareil danger qu’on songerait à attaquer, à mutiler, à ébranler ces institutions qui ont pour but de poursuivre, de combattre, de détruire l’ignorance !
Je vote Hugo!